Il fait bouger les lignes de la culture Made in Clermont et d’ailleurs depuis 10 ans, arc-bouté sur quelques idéaux qui forcent le respect. Ne lâchant rien, bataillant ferme, créant toujours, cet homme essentiel, boss de Kütu Records et leader du Delano Orchestra, se raconte pour l’anniversaire de son label.


Premier costard de Kütu ?

En février 2006, sur une pochette de disque rouge.

 

La formation et le parcours qui t’ont conduit à porter un costard de Kütu ?

Cinq années de droit public et quelques années de passion pour la musique.

 

Meilleur moment de ta vie en costard de Kütu ?

Les Transmusicales de Rennes 2011 (la veille).

 

Pire moment de ta vie en costard de Kütu ?

Les Transmusicales de Rennes 2011 (le lendemain).

 

Plus grand risque pris alors que tu portais un costard de Kütu ?

Avoir tendu la main à quelques traitres.

 

Meilleur ami portant un costard ?

Un artiste sincère.

 

Album préféré ? Livre préféré ? Oeuvre préférée ? Costard préféré ?

J’adore manger dans une auberge et goûter à la nourriture qu’on me propose. Je déteste choisir parmi d’excellents plats. Pour cela, le St Eutrope est l’adresse parfaite.

 

Propos les plus drôles entendus lors d’une réunion d’hommes en costard ?

«Clermont-Ferrand, capitale européenne de la culture ». Ceci dit, j’aime ma ville et j’en rêverais.

 

Dernière soirée très arrosée en costard de Kütu ?

Tous les mercredis à 17h, à l’occasion de la Pause Musicale de Ne Rien Faire.

 

Etre habillé en costard de Kütu,  avec les filles, ça aide ?

Les filles n’aiment plus la couture, ça pique trop.

 

La dernière fois que tu as taillé un costard ?

Pas de temps à perdre avec ça.

 

L’homme en costard que tu admires le plus ?

Mes grands-parents et leur veste de fermier.

 

Ton plus grand rêve ?

Vivre de Ne Rien Faire.

 

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